Margaux Chastenet, le talent au bout du crayon pour deux projets d’édition et de graphisme !
Margaux, qui êtes-vous ? Présentez-nous vos deux projets !
Margaux Chastenet, j’ai 31 ans, et je suis illustratrice et graphiste, à la tête de deux marques; Il était une fois l’Auvergne® depuis 2016, et Monts d’imaginaire depuis 2019.
J’ai toujours été passionnée par le dessin et attirée par les métiers artistiques, depuis que je sais tenir un crayon, j’ai probablement dessiné plus vite que je n’ai écrit. C’est donc tout naturellement que je me suis dirigée dans un cursus artistique dès que j’ai pu le faire, et que j’ai suivi des études en Arts Appliqués.
Et puis un jour, après une discussion décisive, l’idée d’un premier livre original et 100% local est apparu; Il était une fois l’Auvergne®, éditions et papeterie illustrées 100% made in Auvergne, venait de naître. La suite, c’est des rencontres et des collaborations qui m’ont poussées à créer Monts d’imaginaire, pour répondre aux commandes d’illustrations et de graphisme personnalisé que je recevais.
En quoi consiste ces deux projet distincts mais complémentaires ?
Avec ma deuxième marque, Monts d’imaginaire, il n’y a plus de limite, et je mets des montagnes d’imagination au service de mes clients, pour leur concevoir des projets visuels et artisitques sur-mersure : des supports de communication, jusqu’à l’illustration personnalisée, en passant par la réalisation de décors de vitrines ou encore de fresque murales.
Comment avez-vous connu le GCE ?
Aujourd’hui, je suis adhérente, lauréate et participante aux événements !
Quelles sont vos attentes en tant qu’adhérente de notre association ?
Quelles sont les difficulté rencontrées dans l’élaboration de vos projets ?
Et puis, une fois que tout est lancé, d’autres difficultés viennent s’ajouter ou apparaissent, comme par exemple pouvoir distribuer assez largement, se faire connaître, créer une notoriété suffisante, avoir des retours pour prouver sa légitimité, bref, se faire une place.
Le “combat” commercial dur toujours, mais en plus, il a fallut (et il faut encore) survivre aux aléas et au contexte qui évolue, avec son lot de (mauvaises) surprises, comme le Covid et tout ce que ça engendre. Aujourd’hui encore, la crise se fait sentir, mais j’essaie de m’adapter, d’évoluer, d’aller chercher de nouvelles idées pour commercialiser sur de nouveaux secteurs, et recentrer l’activité de Monts d’imaginaire sur le secteur du tourisme qui m’intéresse particulièrement.
Vous êtes lauréats des Trophées du GCE… Comment considérez-vous l’accompagnement du GCE et qu’est-ce que cela vous apporte ou vous a apporté ?
Au delà de l’apport financier qui est évidemment toujours appréciable, le GCE permet aussi de mettre en avant les lauréats par la biais de présentations en ligne, d’un reportage photo qui est également un super apport, ou encore par des partenariats médias, ce qui est non négligeable pour ajouter de la visibilité à l’entreprise.
Et puis bien-sûr, comme je le disais déjà, l’aspect bienveillant, presque “familial” du groupe est très agréable, d’autant plus lorsqu’on est intégré en tant que lauréat.